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Pour ce qui nous on pas écouter a la radio voici les moments de l'interview... Encore merci a radio Graf'hit pour son accueil.

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SOIREE OLD DOGS SALLE DES FETES – BICHANCOURT (02) Le 28 septembre 2013

C’est Sombre Epoque qui débutait la soirée sur cette très petite scène, et la particularité est que dans ce groupe, il y a le père au chant et le fils à la guitare ... Sombre Epoque, c’est avant tout de la rage sur scène, de la puissance, et le mérite de ne jouer que des compos, bien solides musicalement et associées à de jolies paroles sur notre chère société, des paroles que le chanteur les bonifie avec sa voix rageuse et sa fougue !

En tout cas une superbe soirée, une de plus, pour un public radieux et chaleureux présent ce soir là à … Bichancourt !!

A l'initiative de l'association Old Dogs de Bichancourt, présidée par Mathieu Mignot, un concert gratuit était organisé samedi soir à la salle des fêtes de la commune. Trois groupes plutôt rock se sont succédé sur scène : Sombre Epoque (de Laon), Tropy Tusty et All Access Aera (de Compiègne). Environ 70 personnes ont assisté au concert dans une très bonne ambiance. Une buvette et un service de restauration étaient assurés par les organisateurs. Cette manifestation a précédé l'exposition de véhicules d'exception qui s'est tenue hier (nous y reviendrons dans une prochaine édition). C'était un week-end sur les chapeaux de roues pour les organisateurs.

 Les musiciens venus de Laon et Compiègne se sont produits

devant environ 70 personnes rassemblées à la salle des fêtes.

  

Premier CD pour Sombre époque

Un an, enfin treize mois, il aura fallu treize mois au groupe laonnois Sombre époque pour passer des premières répétitions au premier CD pressé.

Novembre 2012, Éric Hespel, le père, Thomas Hespel, le fils rejoignent Damien Fiou, Yann Pruvot et Yohann Baston.

Ensemble ils forment le groupe Sombre époque et investissent les Caves à Musique pour leurs répétitions.

Du Gibus au ... Gibus café

En avril, poussés par l’équipe des Caves, ils font leur premier concert au Gibus sur le Plateau.

L’aventure commence. Douze dates vont suivre : Berzy-le-Sec, Picardie mouv’, la fête de la musique, jusqu’au Gibus café à Paris, et enfin le concert à Cap No  fin novembre.

Les cinq potes décident, alors, de sauter le pas et partent s’enfermer deux jours en studio à Mont-Saint-Père dans le sud de l’Aisne.

« Nous avons travaillé avec Michel Bontemps, raconte Éric Hespel, ce gars c’est un vrai magicien »

Yann Pruvot confirme :« C’est fou ce qu’on a appris en deux jours avec lui. »

Résultat de cette rencontre, quatre titres gravés sur un CD. Des chansons écrites par Éric Hespel, « on commence toujours par la musique, confie Yann Pruvot, on enregistre le morceau et Éric s’occupe d’y mettre un texte. »

Ces quatre titres sont le reflet des inspirations du rockeur laonnois : la rue, l’alcool, la guerre.

Le parolier confie : « J’aime beaucoup Paulo Coelho, son ouvrage le Manuel du guerrier de la lumière m’a inspiré un titre. »

Pour le plaisir de jouer

 

Dans un premier temps tiré à une centaine d’exemplaires, « il en reste une trentaine, on en retira », promet Damien Fiou. Ce CD, est surtout un produit indispensable pour se faire connaître auprès des organisateurs de spectacles, un bel outil de promotion, dont sont fiers les cinq compères.

« On ne cherche pas à gagner de l’argent avec, nous, ce que l’on souhaite c’est pouvoir jouer en public ! » et des projets de spectacles, ils en ont plein la tête : le festival Pic’art à Septmont, Les Vers solidaires à Saint-Gobain, le parc Foch, en juillet et pourquoi pas un retour au Gibus, en avril, pour fêter l’anniversaire de leur première prestation ?

E attendant, leur « bébé » de métal est en vente via leur page Facebook et au Rialto, à Laon, rue du Général -Leclerc.

 

Marie-Pierre Duval

Le moins que l’on puisse dire c’est que les membres de Sombre époque n’aiment pas faire traîner les choses. Un premier CD, treize mois après leur formation, cela pouvait sembler rapide, ils viennent de franchir un nouveau cap : vendredi au petit matin a été mis en ligne leur premier clip vidéo ! N’ont-ils pas l’impression de griller un peu les étapes. « Oui, cela va vite », confie Éric Hespel, le chanteur et doyen du groupe, pas encore remis de ses émotions. Damien Fiou, son cadet, n’est pas de cet avis, privilège de l’âge : « Il faut surprendre constamment ! » Tout est parti d’une rencontre. « Damien nous parlait de faire un clip depuis un moment déjà, explique Éric Hespel. Il y a un mois, il a fait la connaissance de Julien Spilmont, du studio Sbul pictures. »

LAON (02). Après plusieurs concerts et un premier CD, Sombre époque vient de céder aux sirènes de l’image. Un clip vient d’être mis en ligne, rien ne semble arrêter les rockeurs laonnois.

VIDEO. Premier clip pour les Axonais de Sombre époque

Au départ, le professionnel de l’image et les musiciens s’entendent pour faire un clip au printemps. « Mais, nous avons voulu faire un essai sur un autre titre, histoire de faire connaissance » , explique Julien Spilmont. Jeudi soir, il est donc venu, avec son matériel lors d’une répétition aux Caves à musique. Les cinq Laonnois ont endossé un costume-cravate, ambiance rétro garantie. Durant un peu plus de quatre minutes, Julien Spilmont promène sa caméra, entre la batterie, les guitares et les micros. Une dizaine d’heures de montage après, « j’ai passé la nuit dessus », en sourit encore l’homme de l’art, le résultat est bluffant, dans un décor sépia rosé, les cinq lascars se montrent particulièrement à l’aise devant la caméra. Le clip a été mis en ligne sur youtube , « on a déjà plus de 300 vues » , s’exclame hilarre Damien, tel un gamin un matin de Noël ! Maintenant, les cinq compères regardent plus sérieusement l’avenir. Leur prochain rendez-vous ? Le 12 avril, un concert au Gibus, quasi un an après le premier. « En attendant il faut qu’on bosse, on ne peut pas revenir sur scène sans rien de neuf » , explique Damien Fiou, toujours adepte de nouveauté. En avril, l’ami Spilmont reviendra poser ses caméras, au Gibus. « Nous aimerions tourner le prochain clip en public cette fois » , poursuit Éric Hespel.

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